La cigarette électronique est proposée par les tabacologues comme une solution d’aide dans le cadre d’un sevrage tabagique. Ce dispositif permet en effet aux fumeurs de garder le plaisir de fumer. Adopté par déjà de nombreuses personnes, de nombreux vapoteurs s’interrogent toutefois sur une éventuelle dépendance à ce dispositif et sur les conséquences de celle-ci sur la santé. Le point dans cet article.
En passant à la vape, un fumeur n’inhale plus de composants cancérigènes présents dans une vraie cigarette. Et c’est déjà une belle victoire. Les risques de maladies (cancer pulmonaire, de la gorge, etc.) diminuent de manière importante. Par ailleurs, avec la cigarette électronique, vous conservez la même gestuelle que celle vous aviez lorsque vous fumez. C’est un avantage considérable puisque ceci facilite la transition. Vous gardez le même réflexe et obtenez le même plaisir.
Par ailleurs, le vapotage est tendance. Vous pouvez même acheter un dispositif stylé si vous le souhaitez. Le marché propose de nombreux modèles au choix. Quant à l’e-liquide, ceci est disponible en de nombreux parfums. Ce qui vous permet de varier facilement les plaisirs.
Cette gestuelle que le vapoteur répète de nombreuses fois par jour peut s’apparenter à une dépendance à la cigarette électronique. Il pourrait ne pas se sentir à l’aise sans tenir ce dispositif dans la main et devient de ce fait accro à sa cigarette électronique.
Mais, en plus de ce geste, ce qui peut véritablement créer de l’addiction chez le vapoteur, c’est la nicotine qui entre dans la composition de l’e-liquide. Si celui-ci n’est pas à la bonne dose, l’utilisateur peut ressentir une sensation de manque. Ce qui créera encore plus de dépendance. Il aura chaque fois besoin de vaper pour pouvoir sentir cet effet relaxant sur le cerveau que procure cette substance.
Déjà en arrêtant de fumer de vraies cigarettes, vous faites un grand pas à l’avant pour votre santé. Contrairement à la fumée produite par les cigarettes classiques, celle produite lors du vapotage ne contient aucune substance toxique. En revanche, la nicotine présente dans l’e-liquide est-elle dangereuse ? Selon certaines études, elle l’est seulement si elle est consommée à très forte dose. D’autres études disent qu’elle peut causer dans certains cas des maladies cardiaques. Quoi qu’il en soit, la cigarette électronique est moins nocive qu’une vraie cigarette. D’ailleurs, dans le cadre d’un sevrage tabagique, le vapoteur peut diminuer progressivement le taux de nicotine contenu dans son e-liquide pour ne plus être dépendant de cette substance. Une très faible dose ne présente aucun risque sanitaire. Lorsqu’on arrive à un taux de nicotine bas, voire nul, le fait d’être accro à sa cigarette électronique ne pose plus aucun problème.
Le CBD, également appelé cannabidiol est une substance qui se trouve dans le cannabis. Contrairement au THC ou tétrahydrocannabinol, le CBD ne donne pas cet effet qui fait planer le consommateur. En effet, le cannabis dispose de 10% de THC. Ce dernier est donc la cause des effets planants. Le CBD peut être consommé de plusieurs façons, et particulièrement en tant que e-liquide. Qu’est-ce que le e-liquide? Et bien, le e-liquide, c’est tout simplement la matière mise dans une cigarette électronique qui par la suite produit de la vapeur. Si vous ne disposez pas de e-liquide, vous ne pourrez donc pas vapoter. Mais pourquoi vapoter du CBD ?
Ne provoquant aucun effet psycho-actif, vapoter devient un loisir. Vapoter du CBD est donc tout à fait possible pendant votre temps libre. La vape au CBD donne une sensation relaxante. Le corps ressent une importante décontraction et un grand soulagement sans aucun changement au niveau psychique. Malgré le fait que le CBD soit issu du cannabis, la vape ne procure aucun effet psychotrope. Vous ne devriez donc pas vous inquiéter d’une apparition de troubles mentaux. Mise à part l’effet relaxant, le CBD peut être considéré comme un traitement contre le diabète ou le cancer, un anti-émétique (qui apaise les nausées), un antidépresseur, mais aussi un anti-psychotique. Sachez tout de même que ces vertus-là ne sont pas encore officiellement reconnues. Dans ce cas, il n’est pas recommandé de consommer ou de vapoter du CBD en guise de traitement médical.
L’effet procuré par le CBD est toujours le même sauf s’il est pris par voie orale. Effectivement, l’effet se dissout petit à petit par voie orale. Quand vous vapotez, la biodisponibilité est plus importante. Son résultat est plus ressenti. Concernant la quantité, vous en aurez moins besoin. Le CBD existe aussi sous forme de crème. Il cible alors des points du corps qui sont douloureux. Si vous prenez une pilule, l’effet ne sera ressenti qu’une heure après la consommation. Par contre, si vous vapotez, l’effet est presque immédiat.
La consommation de CBD peut vous aider à combattre les addictions. Si vous êtes habitués à la nicotine, sachez que le e-liquide au CBD peut vous aider à surmonter cette addiction. Le cannabidiol a le pouvoir de remplir ce manque en vous. La cigarette électronique vous donnera en même temps cette sensation de tenir une tige de cigarette. Et cela est aussi valable pour les habitués du cannabis. Même si le CBD ne donne pas un effet planant comme celui du THC, sa consommation délivre quand même une sensation de bien-être et de détente. Si vous souhaitez diminuer votre consommation de cannabis, pensez à essayer la vape au CBD.
Passer du tabac à la cigarette électronique peut être risqué, surtout sans les bons conseils. En effet, de nombreux vapoteurs ressentent encore cette sensation de maquer, même après des semaines sans fumer. Mais alors, comment réussir sa transition, et sur quels critères choisir ses e-liquides pour éviter de retomber dans le tabagisme ? Pour vous aider, voici plusieurs conseils pratiques.
Avant de choisir ses e-liquides, il faut prendre en compte quelques éléments de base, en particulier le dosage de nicotine adéquat. Contrairement aux idées reçues, passer au vapotage électronique signifie également peser et mesurer sa consommation. Pour ce faire, prenez en compte le premier élément indicatif, c’est-à-dire votre consommation quotidienne en cigarettes classiques. Les spécialistes conseillent aux fumeurs qui veulent passer au vapotage de restreindre le taux de nicotine. L’idéal consiste à en diminuer progressivement la dose présente dans votre cigarette électronique. Pour ceux qui l’ignorent, l’impact du dosage est considérable pour un vapoteur. Une quantité appropriée approprié vous permet ainsi d’éviter cette sensation de manque tant redoutée par les fumeurs. En plus, elle vous procure une meilleure sensation de hit en gorge.
Bien que cela paraisse inimaginable, il existe de nombreuses variétés de nicotines, et choisir ses e-liquides revient à choisir le type de nicotine le plus adapté. En effet, les types de nicotines varient en fonction des besoins de chaque vapoteur. Si vous êtes un adepte de la nicotine à forte concentration, il vous est conseillé d’opter pour une e-liquide ayant une équivalence supérieure à 16 mg. De nos jours, certains revendeurs proposent même une variété au sel de nicotine, expressément conçue pour être rapidement absorbée par l’organisme. Une absorption plus rapide que la moyenne permet ainsi de garantir, la réussite de la transition. La logique est simple, si vous souhaitez vous débarrasser rapidement de cette envie permanente de fumer, assurez-vous de bien respecter les conseils d’un professionnel.
Une des règles d’or du vapotage est de choisir ses e-liquides en fonction de son matériel. Sachez que l’e-liquide que vous choisissez doit être compatible avec votre cigarette électronique. De plus, le taux de propylène glycol et de glycérine végétale impacte directement la viscosité de l’e-liquide. En effet, une e-liquide qui contient une forte dose de glycérine végétale est plus épaisse. Une forte concentration en propylène glycol permet au contraire d’avoir une substance plus fluide. Sur le marché, il existe deux types de matériels à vapoter. La cigarette électronique standard et la cigarette électronique subhoms. La cigarette électronique classique a été spécialement conçue pour les liquides fluides, alors que le second type est plutôt réservé aux adeptes de liquides de vape plus visqueux.
Les e-liquides consommables par le biais des cigarettes électroniques sont généralement constitués d’un mélange dominé par le glycérol et propylène de glycol. Cette paire d’ingrédient ne sont certainement pas aussi populaires que la nicotine ou le cannabidiol (CBD), mais ils sont essentiellement utilisés dans de nombreux domaines industriels et leur association représente la base même des propriétés d’un e-liquide.
Le Propylène Glycol (PG) est un composé chimique synthétisé massivement en industrie à partir du propylène ou en laboratoire à travers le procédé de fermentation. Il prend la forme d’un liquide visqueux, inodore et incolore, et celui-ci demeure utilisé pour sa capacité à interagir facilement avec les arômes. Disposant d’une température de vaporisation relativement basse, le PG produit peu de vapeur et accentue significativement la sensation de picotement dans la gorge.
La Glycérine Végétale (VG) ou glycérol est, quant à elle, un produit synthétisé naturellement par les végétaux et possède des propriétés physiques similaires aux PG en plus d’avoir un goût sucré. La présence de la VG est principalement responsable de la production de vapeur à forte densité lors de son passage à l’état gazeux. Toutefois, ce composé a tendance à se fluidifier avec la chaleur, ce qui peut encrasser les clearomiseurs en plus d’atténuer l’effet des arômes.
L’association de ces 2 composés attribuera alors les caractéristiques de base du e-liquide, qui seront également influencés par la teneur de ces derniers.
Le glycérol et propylène de glycol sont souvent désignés par le ratio PG/VG, et selon la valeur de ce rapport, les caractéristiques du e-liquide peut tendre vers une meilleure prononciation du goût, saveur et hit ou une production de vapeur plus importante.
Les e-liquides avec une concentration de PG supérieur à 60 % offrent un excellent rendu de saveur et de hit sans émettre énormément de vapeur. Ils restent cependant déconseillés pour certaines e-cigarettes dont les résistances ne sont pas adaptées aux liquides épais sous peine de causer des fuites. Les flacons contenant une concentration de VG au-delà de 40 % produisent en revanche une vapeur dense et abondante, en atténuant ‘effet des arômes ainsi que du hit au passage. Un ratio de 50/50 représente enfin le compromis adéquat pour les vapoteurs souhaitant bénéficier de la totalité des effets, et il est d’ailleurs compatible avec tous types de résistances.
Une multitude de recettes existe sur le marché et les consommateurs seront généralement contraints de tester chaque produit afin de découvrir leur ratio idéal. Il est par ailleurs recommandé de tenir compte de certains critères avant de réaliser un choix comme les caractéristiques du matériel ou encore les habitudes particulières du consommateur (dosage quotidien de nicotine ou CBD).
Les propriétaires des e-cigarettes personnalisables peuvent en revanche modifier leurs appareils dans le but d’accéder à l’ensemble de la gamme de e-liquide proposé, sans imposer un stress susceptible de causer une panne relativement sévère de l’équipement.
L’essence du sevrage via l’emploi des e-cigarettes se tourne vers la dose de nicotine qu’on attribue dans un e-liquide. La nicotine présente fera l’objet de dilution par les autres composants de l’e-liquide, réduisant ainsi son taux de pourcentage. Comment se passe le processus ?
On appelle e-liquide, le liquide destiné à l’emploi des e-cigarettes pour produire du nuage de vapeur. Il est chauffé au moyen de résistance en fils métalliques, c’est le compartiment composante de l’e-cigarette qui produit le nuage de fumée. Les vapeurs produites par les e-liquides procurent aux fumeurs des sensations et des saveurs cherchées dans les cigarettes classiques.
L’e-liquide est principalement composé de propylène et de glycérine végétale, à cela s’ajoute une faible quantité d’alcool, des arômes, de l’eau pure et de la nicotine. La présence d’un faible taux de nicotine permet petit à petit de combler le manque quand vous avez décidé d’arrêter de fumer avec la cigarette électronique. Généralement, la concentration en nicotine est de l’ordre de 0 à 19,6mg/ml dans un flacon d’e-liquide contre 16mg dans une cigarette classique.
Les avantages d’arrêter de fumer avec la cigarette électronique pour sevrage tabagique sont liés au fait que vous puissiez choisir votre thérapie à tout moment. Exemple, si vous souhaitez entamer votre sevrage de manière non brusque, vous pouvez poursuivre votre prise quotidienne de cigarettes, mais avec un taux successivement modéré de nicotine. Vous pouvez aussi choisir de sauter cette étape et prendre une vape d’e-liquide ne présente pas de nicotine dans sa contenance.
De ce fait, le fumeur ne va point chambouler ses habitudes vis-à-vis de ses gestuelles quotidiennes puisqu’il continuera à les pratiquer jusqu’à ce qu’il en ressente le dégoût. C’est pour cela que les cigarettes électroniques sont fort appréciées en matière de sevrage même si son processus est souvent lent.
En général, la désaccoutumance d’un fumeur à une addiction prend fin vers le 3e mois de sa dernière prise de fumée. Aussi, pour arrêter de fumer avec la cigarette électronique, il n’est pas conseillé de décroître hâtivement la concentration de nicotine contenue dans les e-liquides afin d’éviter quelconque risque de rechute.
De ce fait, il n’y a pas réellement d’e-liquides idéaux pour tout type de sevrage, c’est surtout le taux de concentration de la nicotine présente dans les e-liquides qui sera étudié au fur et à mesure de votre sevrage. Il est alors vivement conseillé de se faire accompagner par un tabacologue expert en e-cigarettes et en sevrage. Il vous indiquera les dosages de nicotine à prendre tout au long de cette période. Quant à l’arôme, cous pouvez choisir celui qui vous semble agréable.
Depuis quelques années, la consommation d’une cigarette électronique est devenue une habitude pour certaines personnes. Elles ont préféré de consommer cette cigarette aussitôt que la cigarette traditionnelle au tabac pour des différentes raisons telles que la cigarette électronique est un peu nocive que la cigarette traditionnelle au tabac favorisant les cancers, elle ne comporte qu’une faible quantité de substance toxique et cancérogène. Mais les questions qui se posent sont : c’est quoi exactement la cigarette électronique ? Quels sont les éléments qui la constituent ? Et comment fonctionne cette cigarette ?
La cigarette électronique est un appareil électronique qui génère l’aérosol dédié à être enfumé. Elle engendre une vapeur qui ressemble visiblement aux fumées produites par l’allumage du tabac. Cette vapeur a une grande différence avec le tabac brulé mais il est possible qu’elle doive aromatiser et elle contient ou pas de nicotine. En effet, la cigarette électronique instaure une bonne méthode d’entamer un servage de cigarette en tabac en bienveillance. Actuellement, il y a plusieurs modèles de taille, de contenus, de formes de capacité, de marque ainsi que d’accessoire de cigarette électronique. Historiquement, la cigarette électronique a fait sa première apparition au grand public vers l’année 2011. Et elle a su aussitôt une grande réussite.
La cigarette électronique est constituée par de plusieurs éléments principaux. Ce sont :
-la batterie, celle-ci apporte l’énergie afin de chauffer la résistance. La batterie est dédiée à alimenter la cigarette, elle est composée par un ou nombreux accumulateurs sur un bloc et constituée d’un module électronique de protection et de régulation ;
-un réservoir, celle-ci est la partie qui contient le liquide. il peut être en plastique ou en verre ou bien en métal ;
-un clearomiseur ou atomiseur, cet élément a pour rôle de chauffer le liquide pour l’apporter jusqu’à la résistance en haut de l’appareil ;
-les liquides à vapoter, celles-ci sont constituées de glycérine végétale et un mélange à base de propylène glycol ;
-un embout bocal, c’est l’élément permettant d’inspirer la vapeur qui sorte dans l’atomiseur ;
-et le dernier élément est le chargeur de batterie.
Le fonctionnement de la cigarette électronique ne consiste pas à fumer mais de vapoter parce que les utilisateurs de cette cigarette aspirent la vapeur engendrée par le chauffage de liquide. En effet, le fonctionnement est comme suit : la mèche de fibre ou de coton infuse dans une solution qui contient de glycérine végétale et du propylène glycol ainsi que de nicotine à diverses concentrations et des arômes. Alors, quand les utilisateurs appuient le bouton, la résistance qui enveloppe la mèche commence à chauffer et celle-ci chauffe le liquide en dégageant la vapeur. D’ailleurs, il existe dès maintenant la cigarette électronique automatique, elle ne possède pas aucun bouton. Pour l’utiliser, il suffit d’aspirer.
Beaucoup de gens veulent arrêter de fumer, mais n’y parviennent pas. Étant une drogue, il est en effet difficile de se débarrasser complètement de la cigarette. Néanmoins, il est possible d’y remédier en utilisant les bonnes méthodes. Voici notamment 3 médecines douces pour arrêter de fumer : l’acupuncture, l’hypnose et l’homéopathie.
L’acupuncture commence aujourd’hui à attirer de plus en plus de personnes. En effet, cette médecine traditionnelle chinoise s’avère être vertueuse et efficace. Elle procure notamment plusieurs bienfaits, comme la désintoxication de l’organisme. C’est pourquoi, elle est la méthode parfaite pour arrêter de fumer.
Pour rappel, la technique de l’acupuncture consiste à traiter des zones infectées grâce à des aiguilles. Selon les pratiquants, cette méthode permettrait de stimuler l’organisme et de rétablir la circulation harmonieuse de l’énergie à l’intérieur du corps. Pour qu’elle soit vraiment efficace, il ne faut toucher que des points stratégiques. Concernant l’arrêt de tabac, ces points se trouvent sur le nez. Il suffit donc d’appliquer l’acupuncture sur ces zones, dites « chiapi » pour y remédier.
De nombreuses personnes ont déjà témoigné concernant l’efficacité de cette technique. Selon des études, elle assure au moins 60 % de réussite.
L’hypnose est une des médecines douces pour arrêter de fumer qu’on peut aussi utiliser actuellement. Tout comme l’acupuncture, elle s’avère être très efficace et assure au moins 70 % de réussite. Le principal objectif de l’hypnose est d’aider le patient à sortir de la dépendance au tabac. En effet, l’addiction est l’une des raisons pour lesquelles les fumeurs n’arrivent pas à arrêter de fumer. Quand ils ne fument pas, ils ressentent un certain manque qui peut les emporter vers des troubles psychologiques et physiques.
Pour y remédier, l’hypnotiseur va utiliser de nombreuses approches comme la modification de la perception du tabac, la présentation des méfaits de celui-ci sur le corps et la visualisation d’un meilleur avenir sans cigarette. Le but est de conscientiser le corps du patient pour qu’il arrête de fumer.
L’homéopathie fait aussi partie des médecines douces pour arrêter de fumer. Contrairement aux autres pratiques, elle ne permet pas un résultat immédiat. Son objectif est de libérer le patient de l’addiction progressivement. Pour ce faire, il faut d’abord comprendre les symptômes liés au tabagisme. La particularité de l’homéopathie réside notamment dans le traitement d’une maladie par la substance qui l’a, elle-même, provoquée. En matière de tabagisme, la dépendance est surtout causée par la forte présence de nicotine à l’intérieur de l’organisme. On va alors l’éliminer, en substituant cette nicotine par d’autres procédés similaires. Ainsi, le fumeur ne sentira plus aucun manque et pourra se débarrasser petit à petit de la cigarette.
L’arrêt du tabac est une étape très difficile pour la plupart des fumeurs. Toutefois, avec la hausse du prix du tabac, certains fumeurs pensent arrêter définitivement de fumer pour ne pas se ruiner. Ne vous tracassez plus, les substituts nicotiniques sont parmi les méthodes qui peuvent vous aider à atteindre votre but.
Plusieurs scientifiques se sont penchés sur la façon d’aider les fumeurs à arrêter de fumer depuis la nuit des temps. Ils en ont ainsi conclu que les substituts nicotiniques constituent une des traitements qui peuvent être efficace face à cette lutte. Ces substituts se présentent sous deux formes : la forme transdermique et la forme orale. La forme transdermique regroupe le type de substituts nicotiniques comme les patchs ou timbres de nicotine. Pour la forme orale ou buccale, il existe plusieurs types de substituts : les gommes à mâcher ou Chewing gum, l’inhaleur, les microtabs, les comprimés à sucer ou à dissoudre, la cigarette électronique, etc. Il y a également les médicaments qui sont soumis à une autorisation spéciale prescrite par des médecins comme la Varénicline et le Bupropion LP.
En vente libre dans les pharmacies, le mode de traitement aux substituts nicotiniques reste unique : la diffusion régulière et lente de la nicotine dans le corps et l’organisme humain pour diminuer petit à petit l’envi de fumer. Il est toutefois à noter que le mode de fonctionnement de ces substituts varie selon votre cas et votre façon de fumer la cigarette (petit, moyen, ou fumeur invétéré). La plupart des personnes qui utilisent ces substituts sont celles les plus dépendantes à la cigarette. Ainsi, la base du fonctionnement de ces substituts nicotiniques est la libération à petite dose régulière de la nicotine dans le sang pour ne pas provoquer une addiction. Il faut savoir que pour que ces substituts soient plus efficaces, vous devez au moins en utiliser deux types, par exemple : le patch associé avec l’inhaleur, sous un délai allant de 3 à 6 mois selon votre cas. Pour le cas de la Varénicline ou la Bupropion, ils doivent toujours se faire sur prescription d’un médecin.
Il est à noter que l’arrêt au tabac peut causer divers symptômes désagréables comme les maux de tête, l’envi de fumer, la déprime, divers troubles (sommeil, concentration, etc.). Les substituts nicotiniques vous aident ainsi à atténuer voir même à faire disparaître ces symptômes de dépendance et de manque pendant votre sevrage. En effet, ils compensent votre besoin en nicotine sans pour autant vous faire rechuter. Ils vous permettront également de vous concentrer sur les autres aspects que peuvent entraîner l’arrêt au tabac (aspects sociaux, psychologiques, comportementaux.). Il a été toutefois prouvé que la plupart de ces traitements à base de substituts nicotiniques présentent quelques effets indésirables comme les rougeurs, les démangeaisons, les irritations, brûlures d’estomac, etc.
Quiconque connaît bien les effets néfastes du tabac. Plusieurs personnes commencent à fumer à cause de la tentation et deviennent dépendantes en y trouvant du plaisir. En se rendant compte des mauvais effets du tabac sur la santé, des milliers de fumeurs souhaitent arrêter de fumer. Si certains y arrivent de manière efficace, d’autres ne s’en sortent pas. L’arrêt du tabac est une décision à ne pas prendre à la légère. Il faut bien choisir les manières de s’y prendre tout en étant motivé.
Des milliers de personnes souhaitent faire une croix sur le tabac sans y arriver. Il s’agit d’une grande lutte qu’il faut affronter quotidiennement. Pour pouvoir y parvenir, il faut arrêter de fumer progressivement et non brutalement. L’arrêt du tabac est difficile à cause de la dépendance psychologique, comportementale et physique. Différents facteurs pourraient vous empêcher d’atteindre votre objectif comme la présence des accessoires qui vous incitent à replonger, les mauvais entourages comme les amis qui fument, le manque de motivation, … De telle lutte pourrait durer des semaines, des mois et même des années. Arrêter de fumer nécessite de la motivation, de la persévérance et de la volonté.
L’arrêt progressif est efficace en ce qui concerne l’arrêt du tabac. Arrêter du jour au lendemain est très difficile, il faut arrêter de fumer progressivement pour atteindre votre objectif de laisser le tabac. Arrêter petit à petit est beaucoup plus facile, c’est moins torturant, sans effet secondaire et sans prise de poids. Ainsi, le risque de rechute est minime avec l’assurance d’une santé améliorée. L’arrêt brusque par contre pourrait engendrer le stress, les troubles, le déséquilibre de votre organisme à cause du manque d’adaptation face au changement brusque et encore pire, la rechute. De nombreux fumeurs qui ont arrêté de fumer du jour au lendemain ont fini par replonger.
Arrêter de fumer sans difficulté exige une grande motivation et des bonnes techniques. Vous devez arrêter de fumer progressivement en vous entourant des bonnes personnes qui vous donnent un coup de pouce pour réussir. Il est conseillé de vous éloigner de tout ce qui pourrait vous influencer à fumer comme votre cendrier, votre briquet, … Vous pouvez commencer par remplacer votre cigarette par une e-cigarette. L’utilisation de la cigarette électronique vous permet de diminuer progressivement les doses de nicotine pour ne plus rester en dépendance. En plus, au lieu d’inhaler des substances toxiques, vous vapotez une saveur de votre choix tout en conservant le même geste et le même plaisir sans nuire à votre santé. En parallèle, vous pouvez pratiquer du sport, l’exercice physique aide à réduire les envies de fumer.
Lorsqu’un fumeur décide d’arrêter de fumer, la tentation et l’envie ne cesse de le tourmenter tous les jours. Pour surpasser cette envie, on vous conseille deux méthodes simples et efficaces : la relaxation et la respiration abdominale.
Il est clair que résister à l’envie de fumer est difficile et stressant. Toutefois, rien n’est impossible avec de la volonté. Sachez que la relaxation aide à combattre le stress et l’envie incessante de vouloir fumer à tout prix. Débarrassez-vous donc de votre stress en optant pour des exercices de relaxation. Vous pouvez, par exemple, vous relaxez en pratiquant du yoga, des exercices de respiration ou en faisant une séance de méditation. La relaxation est aussi un moyen pour gérer et corriger les mauvaises habitudes acquises durant la période où l’on a fumé. Le but de cette pratique est de libérer l’esprit pour que la personne soit complètement détendue. Cela permettra de contrôler l’envie de fumer et diminuera toutes sortes d’angoisses causées par l’arrêt soudain de consommation de tabac.
Un des exercices de relaxation, la respiration abdominale est fortement conseillée pour l’arrêt du tabac. Pour être serein et totalement détendu, misez sur cette technique de respiration. Sachez qu’elle donne une meilleure oxygénation à l’organisme. La respiration abdominale élimine et décongestionne aussi les toxines et toutes tensions présentes dans notre corps. Cet exercice peut se faire à tout moment de la journée et est réellement bénéfique pour aider à oublier le manque de cigarette. Cette respiration par le ventre apporte d’énormes bienfaits à nos poumons et régule notre rythme cardiaque. La respiration abdominale peut se faire qu’on soit allongé, assis ou debout. Il est facile de l’apprendre juste en regardant un bébé respiré. Normalement, cette technique devrait être naturelle chez l’être humain.
L’arrêt du tabac diminue grandement le risque de nombreuses maladies (cardiaque, pulmonaire, dépendance…). En fumant, le rythme cardiaque accélère fortement ; or, en arrêtant, ce rythme cardiaque devient de plus en plus sain. De plus, ne pas fumer réduit aussi les dépenses quotidiennes. Notez que les sens du goût et de l’odorat redeviennent comme auparavant lorsqu’on arrête de fumer. La peau, elle aussi, devient plus saine et douce. Il est aussi plus facile de se reposer en cessant de consommer du tabac, ceci dû à la régulation de la tension artérielle qu’entraîne ce changement.
Arrêter de fumer demande beaucoup de courage et de volonté. A chaque fois que l’envie vous revienne, pensez positivement et dites-vous qu’essayer est mieux que d’être complètement accro et dépendant. A chaque tentation surpassée, vous vous rapprochez un peu plus de votre but : avoir une vie saine sans tabac. Tenez bon !